Business Time, rencontre avec Emmyzapartca, créatrice de contenus Made In Touraine

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A l’ESG, les étudiant.e.s ont la possibilité d’assister à des rencontres avec des professionnels tout au long de leur cursus, quelle que soit leur filière. C’est ce qu’on appelle les Business Time. Une opportunité d’élargir son réseau, d’en apprendre davantage sur un domaine, un métier ou une problématique mais surtout la possibilité d’élargir ses horizons et de s’enrichir. 

Récemment c’est Emmy Alexandre, influenceuse tourangelle au plus de 22000 abonné.e.s qui a partagé son expérience aux étudiant.e.s en Mastère Communication Digitale et Marketing d’Influence. 

Alors quel est le parcours d’Emmy ? Comment perçoit-elle l’évolution de ce secteur ?  Elle nous dit tout en vidéo. 

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Emmy, qui es-tu ?

Je suis créatrice de contenus sur les réseaux sociaux. On peut dire aussi influenceuse. Mais effectivement, j'aime bien le terme « créateur de contenus ». Mes thèmes principaux étant le patrimoine, la gastronomie et le tourisme. 

Quel est ton parcours ? 

J'ai commencé par faire une licence en histoire de l'art. Puis j’ai fait deux masters : un en patrimoine et musées et un autre en conservation restauration du patrimoine. Mon parcours a débuté en tant que chargée de médiation culturelle et communication au château de l’Islette près d’Azay-le-Rideau. 

En parallèle j’avais un compte Instagram que j’ai développé au fur et à mesure. Aujourd’hui ce compte est devenu mon activité principale. 

Pourquoi avoir choisi de faire de la com’ ?

En fait, je n'ai pas vraiment choisi la communication. J'en ai fait un peu mais c'est Instagram qui m'a tout appris. C'est en me lançant sur ce réseau, par hasard, que j'ai appris la communication, du moins la communication liée aux réseaux sociaux.

Comment es-tu devenue influenceuse ? 

A la base, ce n’était pas un domaine que j'avais choisi. J'avais ce compte Instagram depuis environ cinq ans. Au début, il s’agissait d’un compte que j'avais fait en parallèle de mon compte personnel pour partager sur des thèmes qui m’intéressaient. C’était davantage un hobby. Et finalement, à force de l’alimenter régulièrement et de m’appliquer en essayant de prendre des photos assez jolies avec un feed harmonieux, ma communauté a grossi et des marques ont commencé à m’approcher. Je me suis alors dit que ça pouvait devenir une activité rémunératrice. Donc c’est comme cela que ça a commencé.

Peux-tu nous expliquer la différence entre chargée de communication et influenceuse ? 

Le chargé de communication est chargé de communiquer pour quelqu'un. C’est-à-dire que moi par exemple, j’étais chargée de communication pour le château de l’Islette. Donc ce n'est pas moi que je mettais en avant. C’était bien le monument, mais là je suis influenceuse donc le thème du compte c’est mon quotidien et personnifié. Je vais montrer mon visage et parler directement à ma communauté. C'est cette prise de parole et cette personnification qui fait de moi une influenceuse et pas une chargée de communication. 

Quels sont tes futurs projets ? 

Je suis en train d’écrire un guide touristique sur la Touraine qui va s'appeler, puisque ça sort au printemps 2024, 111 lieux à ne pas manquer en Touraine. Ce sont des lieux hors des sentiers battus, hors des grands sentiers touristiques. Ce sont des lieux entre guillemets, un peu cachés, méconnus donc il n’y aura pas le château de Chambord ou Chenonceau, qui sont magnifiques, mais qui sont déjà très connus. Ce sera plutôt pour redécouvrir la Touraine, autrement.

Quel est ton avis sur la volonté de réglementer le monde de l’influence ? 

Je suis totalement pour. Ce sont des choses que moi j'essaye déjà de faire à mon échelle. Même si ce n’est pas encore très clair. A chaque fois que je suis payée pour un partenariat, je le mentionne. Lorsque que c'est une story rémunérée je le dis aussi.  Mais effectivement, ce serait bien qu'on soit encore mieux encadrés et conseillés. Ça éviterait des pratiques comme le dropshipping qui sévit sur certains réseaux, sur certains comptes d'influenceurs et donc ça éviterait que des gens se fassent avoir.

D’après toi, comment va évoluer le métier d’influenceur.se ? 

Je pense que justement ça va être de plus en plus régulé et encadré donc c’est très positif. Ca va nous permettre d’être vus moins négativement. Il y aura peut-être une approche un peu plus positive du métier. Peut-être que je me trompe, mais je pense que c'est quand même quelque chose qui va rester. Quand on voit des influenceurs comme Squeezie ou des Youtubeurs qui sont là depuis des années et qui restent au sommet. Je pense qu’ils vont rester des figures dans la société. 

Aurais-tu des conseils à donner aux étudiant.e.s qui souhaitent se lancer dans la com ou l’influence ? 

Se tenir au courant, essayer d'être un peu sur tous les réseaux sociaux si c'est le sujet qui intéresse pour voir les nouvelles tendances et les particularités de chaque réseau. En effet, Linkedin n'est pas Instagram, Instagram n’est pas TikTok. Moi en tant qu'influenceuse, je dois faire du contenu spécifique pour chaque réseau parce que chaque algorithme a ses modalités. Donc c’est bien de se tenir au courant, d’écouter des podcasts sur tout ce qui se passe, d’être abonné à des gens influents dans le milieu qui partagent beaucoup sur ce sujet.  Il y a vraiment plein de créateurs de contenus qui partagent sur ces thèmes-là. Je pense qu'il y a beaucoup de matière sur Internet et sur les réseaux pour en apprendre plus et voir si c'est vraiment quelque chose qu'on aime.

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